La société cambodgienne est très religieuse, et l’archéologie prouve qu’il en est ainsi depuis des siècles. Les nombreuses statues sacrées exhumées des temples anciens sont aujourd’hui visibles dans les
vatt (monastères) ou les musées. Vénérées au
vatt, elles sont peintes et habillées, tandis qu’elles sont exposées à patine nue dans les musées : une dichotomie apparaît entre les pratiques populaires et institutionnelles. Quels effets a cette dichotomie sur la signification de la statuaire ancienne au Cambodge aujourd’hui, et sur les pratiques de conservation, de restauration et d’exposition ?
Quand: Jeudi 1er novembre 2018 de 17h30 à 19h00 /
Où: UQAM / Pav. De Sève / Local DS-1950 / 320, rue Sainte-Catherine Est
Bienvenue à tous /
Entrée gratuiteDocuments joints