Lancement de la revue «Vivre à l’abri de la peur»

10 mars 2003

Activité de lancement de la publication « Vivre à l'abri de la peur » de la Division de la consolidation de la paix et de la sécurité humaine du Ministère de Affaires étrangères et du Commerce International tenue le 10 mars 2003

Résumé

L’activité de lancement initialement prévue du site Web de la Division pour la consolidation de la paix et de la sécurité humaine n’a pu avoir lieu. Nous avons organisé, en collaboration avec la Division pour la consolidation de la paix, une activité de lancement originale de la publication du Ministère des Affaires étrangères « Vivre à l’abri de la peur ».
Cette activité de lancement a été un succès. Nous évaluons à environ 70 personnes le nombre de personnes assises lors de l’événement et une trentaine de personnes qui ont acheté des consommations et qui ont pu écouter les présentations durant la période d’attente en file.
Nous avons remarqué l’intérêt des personnes présentes aux présentations par leur niveau d’écoute. Nous avons observé un plus grand nombre de questions et commentaires une fois les présentations terminées qu’entre chacune d’elles.

Formule de l’activité de lancement

Nous avons proposé une nouvelle formule pour cette activité de lancement. Nous avons préféré un lieu intime et dynamique comme un café étudiant, le Café Aquin. D’une part, les étudiants et professeurs se rendent à ce café étudiant pour acheter des produits. Certains les consomment sur place et d’autres quittent. Nous étions assuré d’atteindre un grand nombre de personnes puisque la capacité du café étudiant est de 90 personnes assises, en plus des gens qui viennent acheter des consommations.
D’autre part, le Café Aquin est déjà reconnu pour son engagement social en ce qu’il vend des produits équitables, il accueille des expositions d’œuvres d’art tous les mois et enfin, il loue régulièrement son local à différents groupes d’étudiants pour leurs rencontres. Les personnes qui le fréquentent sont sensibilisées aux préoccupations sociales présentes entre les murs de l’UQÀM et à l’extérieur également.
Nous avons invité trois panélistes pour de courtes présentations portant sur les femmes et les conflits armés.

Les panélistes

Le mandat de l’Institut est axé sur les étudiants. Il leur offre l’accès à des spécialistes en études internationales et il leur permet d’acquérir de l’expérience dans le but de les préparer à la vie professionnelle. C’est dans cette optique que l’Institut a invité deux étudiantes à participer à cette activité de lancement en tant que panélistes. Le troisième panéliste a été suggéré par la Division pour la consolidation de la paix.
Mme Johanne Paquin, étudiante à la maîtrise en science politique de l’UQÀM a fait une présentation sur « le viol systématique utilisé comme arme de guerre ».
Mme Katia Gagné, étudiante à la maîtrise en science politique de l’UQÀM et chercheure à la Chaire Raoul-Dandurand, a abordé la question des enfants dans sa présentation sur « les enfants et les conflits armés » en insistant sur la situation particulière des fillettes.
M. Guillaume Landry, ambassadeur jeunesse pour l’action contre les mines antipersonnel au Québec a, quant à lui, traité de l’utilisation des mines antipersonnel dans les conflits armés et l’impact de cette utilisation sur les civils, plus spécifiquement sur les femmes. Sa présentation s’intitulait « Les mines antipersonnel en 2003 : les succès et les échecs du traité d’Ottawa ».

Déroulement

Mme Amélie Larin a fait la présentation de l’Institut, de l’activité de lancement liée à la Journée internationale des femmes, de Mme Trina Lasch, du programme de sécurité humaine de la Division pour la consolidation de la paix et de la sécurité humaine et de la publication « Vivre à l’abri de la peur » (notes préparées par Mme Lasch). Elle a ensuite présenté la première panéliste, Mme Paquin.
Après la présentation de Mme Paquin, Mme Lasch a projeté sur un écran une présentation électronique sur la problématique hommes-femmes et les opérations de paix. Nous avons enchaîné avec la présentation de Mme Gagné. Avant de reprendre avec la présentation de M. Landry, nous avons laissé un peu de temps pour permettre aux gens de poser des questions. Puis, après la présentation de M. Landry, Mme Larin a conclu et a invité les gens à venir discuter avec les panélistes. Mme Lasch a lancé une projection sur la section zone jeunesse du programme de la sécurité humaine.
Quelques personnes se sont présentées et ont discuté avec les panélistes. À cette occasion, les deux panélistes/étudiantes ont pu développer des liens avec un professeur d’un établissement d’enseignement collégial. Ce dernier désire les inviter à faire des présentations à ses étudiants.

Partenaires

Faculté des sciences humaines | UQAMInstitut d'études internationales de Montréal (IEIM-UQAM) Ministère des Relations internationales et de la Francophonie | Québec Affaires mondiales Canada

Logo du Bulletin Centre d’études et de recherches sur l’Inde, l’Asie du Sud et sa diaspora (CERIAS)

Adresse civique

Centre d’études et de recherches sur l’Inde, l’Asie du Sud et sa diaspora (CERIAS-UQAM)
Université du Québec à Montréal
Pavillon Thérèse-Casgrain (W)
455, boul. René-Lévesque Est
Montréal, QC H2L 4Y2

* Voir le plan du campus

Téléphone 514 987-3000 #6909
Courriel cerias@uqam.ca

Le Centre d’études et de recherches sur l’Inde, l’Asie du Sud et sa diaspora (CERIAS) est un regroupement académique interdisciplinaire et francophone dont l’objet d’étude est l’Asie du Sud et sa population. Le CERIAS regroupe des chercheurs, professeurs et étudiants de l’Université du Québec à Montréal et d’autres universités.

L’Asie du Sud est ici définie comme une aire géographique regroupant le Bangladesh, le Bhoutan, les Maldives, le Myanmar, le Népal, le Pakistan, le Sri Lanka et, bien entendu, l’Inde.

Le mandat du CERIAS est de promouvoir le rassemblement, la coordination et les échanges d’universitaires dont le domaine d’études est en lien avec l’Asie du Sud et sa diaspora, que ce soit dans les domaines des arts et lettres, des sciences humaines ou sociales, des sciences politiques et du droit, de l’économie, de l’éducation, des technologies de l’information et des communications, ou de l’environnement.

Abonnez-vous au bulletin

Centre d’études et de recherches sur l’Inde, l’Asie du Sud et sa diaspora (CERIAS)