Le 15 octobre, entouré du vice-président, du secrétaire à la Défense et du chef d’état-major des armées, le Président B. Obama annonçait, solennel, depuis la Maison-Blanche, la révision du calendrier de retrait d’Afghanistan des troupes américaines (9 800 hommes, aux côtés de 3000 soldats de l’OTAN) encore déployées sur cet interminable théâtre de crise, le plus long sur lequel ait du s’employer militairement la puissante Amérique. Jusqu’alors, l’administration démocrate entendait retirer ses troupes formant/conseillant/épaulant leurs homologues afghanes sur un rythme plus enlevé ; au 1er janvier 2017 ne devait demeurer sur le sol afghan qu’un millier de soldats (en charge notamment de la défense des intérêts américains), soit un modeste centième de ce que fut à son maximal (100 000 hommes) l’empreinte militaire américaine en Afghanistan.
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