LE FAIT:
Le 24 juillet, à la veille d’une motion de censure ayant toutes les chances de mettre un terme prématuré à sa mandature, K.P.S. Oli (Parti Communiste du Népal—UML), le 25ème Premier ministre du Népal, prenait les devants et annonçait sa démission après neuf mois d’une gestion heurtée, lestée par de délicats dossiers domestiques (mise en place du nouveau cadre institutionnel, tension avec divers groupes ethniques, gestion postséisme contestée) et une relation dégradée avec l’influent voisin indien. Une décision calculée qui secoua infiniment moins cet Etat himalayen déshérité qu’au printemps 2015, lorsqu’un violent séisme (magnitude 7,8) frappait au nord-ouest de Katmandou, emportant la vie de 9000 Népalais et causant la désolation à l’échelle de la nation. POUR LIRE LA SUITE, VOIR LE DOCUMENT CI-JOINT.
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