« Colère et exaspération prévalent ces jours derniers dans la patrie de feu Gandhi ; à bon droit. Alors que l’été glissait vers un crépuscule déjà chargé de tension dans l’ancienne principauté du Cachemire (J&K), en proie depuis juillet à un nouvel épisode de manifestations-incidents-répression (80 victimes), la fébrilité s’élevait d’un cran supplémentaire le 18 sept. avec l’attaque meurtrière (17 soldats indiens tués) d’un commando de militants contre une base de l’Indian Army (Uri ; 30 km à l’ouest de Srinagar) au Jammu et Cachemire. Une attaque dont New Delhi attribua rapidement la paternité à son voisin occidental, l’identité des assaillants et leur mode opératoire portant semble-t-il le sceau du Jaish-e-Mohammed (JeM), une entité terroriste connue pour son historique d’actions violentes anti-indiennes au Cachemire, notoirement proche de divers cercles du pouvoir à Islamabad (services de renseignements). Un outrage de plus, une provocation de trop – huit mois après une attaque similaire contre la base aérienne de Pathankot, en territoire indien. » LIRE LA SUITE dans le document ci-joint .
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