TAIWAN : ‘l’île rebelle’ face au scrutin, à son voisin, à son destin.
Une analyse de notre collègue Olivier Guillard, 1 juillet 2015, Mark Bradley
Sommaire :
D’ici un semestre, alors que débutera 2016 — un millésime riche en scrutins législatif et présidentiel en Asie-Pacifique (cf. Philippines, Corée du sud, Hong Kong, Thaïlande, USA) -, la population de l’ancienne Formosa (la ‘’belle île’’) sera conviée aux urnes pour renouveler son Parlement et désigner un successeur au chef de l’Etat sortant. Au pouvoir depuis 2008 (reconduit en 2012), le Président MA Ying-jeou (Kuomintang — KMT) devra selon la Constitution (2 mandats consécutifs autorisés) quitter ses fonctions ; à charge pour les Taiwanais de choisir son héritier au sein de son parti (nationaliste)
ou, ainsi que les augures semblent l’annoncer, de se prononcer pour l’alternance et porter une majorité de suffrages sur le candidat du principal parti d’opposition, le DPP (Democratic Progressive Party; proindépendance).
Pour poursuivre :
http://www.iris-france.org/wp-content/uploads/2015/06/Asie-Perspectives-Strat%C3%A9giques-n31-TAIWAN.pdf