Birmanie : un nouveau président, pourquoi faire ?
Une communication de notre collègue Olivier Guillard, 8 avril 2018, Mark Bradley
« Ce mercredi 28 mars, la Birmanie aura un nouveau président. Le précédent, U Htin Kyaw, a démissionné le 21 mars dernier. Le fidèle d’Aung San Suu Kyi devrait laisser la place à un autre allié proche de la « Dame de Rangoun ». A la différence qu’il pourrait être à la fois moins transparent et moins soumis. Ce qui ne serait pas du luxe pour celle qui est de facto Première ministre, tant elle semble éreintée après deux années de pouvoir.
Au printemps 2008, il y a tout juste une décennie, un cataclysme majeur s’abattait sur l’ouest de la Birmanie, dans la région du delta de l’Irrawaddy. Le violent cyclone Nargis emportait dans son déferlement de violence plus de 180 000 vies, semant la destruction et le chaos dans ce périmètre régional déjà guère choyé par les autorités (martiales) de l’époque. »
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