De Kaboul à Islamabad est apparue une coentreprise peu recommandable combinant trafiquants d’armes et de stupéfiants, groupes d’insurgés, entités islamistes et syndicats du crime organisé. Une créature à plusieurs têtes matérialisant le lien pérenne entre le monde du crime et la nébuleuse terroriste radicale, qu’incarne aujourd’hui parfaitement le sinistre réseau Haqqani dont l’un de ses représentants est aujourd’hui ministre des talibans. Sa proximité avec les services de renseignements pakistanais n’est plus à établir…